L’album
Description
Pour la première fois, Pierre partage, dans États d’homme, son bagage de pièces instrumentales. Écoutez-vous, écoutez-les, laissez-les en pâture à votre imagination.
Extraits
Pièces
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- Mauve
- Pièce douce ponctuée d’élans. Créée il y a une vingtaine d’années (elle aurait sans doute pu l’être bien avant ou après), elle a dû attendre longtemps avant que le compositeur décide de lui donner un nom. Elle, lui en fera-t’elle un éventuellement?
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- Le Pierrot
- De la lave en tendresse, l’émotion la plus vive et la plus pure qui puisse jaillir d’un adolescent de 17 ans. Cette pièce a elle aussi la prétention d’être intemporelle.
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- Marguerite
- Marguerite était épanouie comme une fleur, elle était aussi une femme d’une exquise simplicité, pour qui la musique était une richesse absolue.
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- Le singe à Baptiste
- Musique faite une nuit de Saint-Jean-Baptiste. Elle gambade joyeusement. Jouée par le grand singe avec la complicité, du
côté gauche du piano, de sa guenon de fille Élise.
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- Moustaches
- En souvenir d’un médecin aux moustaches géantes, qui aimait ses patients autant que ses moustaches pouvaient être longues.
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- Turbulence lunaire
- Quand tour à tour la lune fait s’élever les mers intérieures puis les apaise.
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- Le cerf-volant
- À la mémoire d’un homme de contrastes, un colosse au cœur léger qui a terminé sa vie dans la douceur de l’amour et la sagesse
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- Si loin, si-près
- Une mère bien-aimée quitte, la douleur est vive, le souvenir encore plus vif.
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- Le vieux clocher
- Mélodie en vagues qui se soulèvent progressivement et s’abaissent langoureusement.
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- Varna
- Valse sans prétention, du nom d’une belle ville de Bulgarie.
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- Aux dieux
- Résumé d’une période où la vie s’est métamorphosée en magnifiques papillons et volées d’outardes, dans un décor de hautes montagnes, russes parfois.
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- PasSage
- Père d’une amie vraie, un homme entier qui a été une inspiration jusqu’à son expiration et le demeure.
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- Sam s’amuse
- Sam pour un sam-edi soir mouvementé.
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- Navré Maria
- Finale solennelle, avec un clin d’œil à Gounod et à son Ave Maria (le compositeur s’aperçoit parfois après l’avoir terminée que sa pièce a pu être légèrement influencée… quand il pense qu’elle est belle dans son ensemble, il n’ose l’amputer, c’est sa progéniture après tout, alors il la conserve intégralement).