Critique de l’album par Dyan Garris
Critique de Dyan Garris pour Zone Music Reporter, New Age CD et le magazine Spirit Seeker Magazine. (Traduction de Hélène Bouthillette)
Il n’y a rien de « vague » dans ce magnifique album solo du compositeur-pianiste Pierre Guérin. Clair, pur et net, l’album est comme une bouffée d’air frais ou un souffle d’élégance qui déferle sur nous et nous apaise. Au fil des pièces, on peut réellement sentir la douce caresse de la vague qui nous effleure et nous traverse. – Dyan Garris.
« Vagues : Compositions au piano » est le troisième album solo de Pierre Guérin. Pianiste et compositeur autodidacte, Pierre joue du piano depuis son enfance. Il tire son inspiration de rencontres avec des gens qui l’ont touché ou marqué d’une quelconque façon. Tantôt passionnées, tantôt apaisantes, ses pièces sont vivantes et vibrantes; elles transmettent la force vitale.
Le style de Pierre chevauche les frontières du classique et du populaire. Les 15 pièces de « Vagues » débordent d’émotion. Chacune est jouée avec maestria, avec un rythme et un mouvement parfaits. Plus que tout, elles transmettent parfaitement les sentiments et les nuances qui font la beauté de la vie.
L’album débute par la pièce éponyme « La vague », qui donne le ton avec une mélodie fluide et une magnifique utilisation des registres des aigus et des graves du piano. Morceau fluide et très apaisant.
« Sous le charme », la pièce suivante, est douce et enlevée. Charmante et plaisante, elle capte parfaitement tout ce que nous aimons dans le jeu de l’amour. « Le chat » est une autre pièce enjouée. Invitant à la rêverie et au jeu , elle combine habilement le registre des aigus et des graves de l’instrument – comme l’artiste le fait tout au long de l’album. Tout simplement adorable, la pièce transpose en musique le comportement fascinant des chats.
Parmi les autres morceaux que je préfère, « Je la vois » est une pièce tendre et romantique qui comporte une mélodie merveilleuse et mémorable. Très belle pièce. « Sage » est scintillante, douce et fluide, tandis qu’« Élan » est charmante à tous les points de vue. À l’instar de « Comme un bourgeon », elle illustre clairement tout le talent et toute la précision du pianiste ainsi que ses compétences aiguisées en composition.
Ludique et légère comme son nom l’indique, « Bulles » est aussi une pièce incontournable. Elle est joyeuse et animée. « Soie d’époque » porte bien son nom. Elle est simplement… douce et vaporeuse. « L’espoir (re-vie) » ne manquera pas de vous charmer. Formidable, elle nous insuffle un sentiment d’optimisme et de renouveau.
L’album boucle la boucle avec la pièce « Au tout début ». Car la fin d’une chose marque toujours le début d’une autre, n’est-ce pas? Cette pièce, très brève et très douce, clôt admirablement ce superbe album. Elle nous offre une longue plage de silence (ponctuée ça et là par le bruit des vagues, en écho aux sons que l’on trouve également pendant quelques secondes au début de l’album), Il n’y a pas meilleure façon de terminer. On touche à la perfection!
Ne manquez pas cette magnifique vidéo de la pièce phare sur YouTube.
Vous pouvez également vous procurer « Vagues » en cliquant sur tout site où l’on vend de la musique ou la diffuse en continu.
Broadcast Media :
Ed & Stacey Bonk
LAZZ Promotions
Bonjour Pierre, je passe du temps à parcourir votre répertoire, je trouve votre musique très inspirante au niveau des images ou devrais-je plutôt dire de la visualisation mentale que l’écoute de celle-ci procure. Je ne dois pas être le premier à vous en faire mention. J’ai adoré notre brève, mais enrichissante conversation à la maison Mathieu Froment-Savoie et vous souhaite, à vous et votre « blonde » un très joyeux, petit noël tout en douceur.
Au plaisir,
Pierre-Joseph Létourneau
Bonjour Pierre-Joseph, merci d’avoir pris le temps de «visiter» cette musique. J’aime savoir que des images ont pu surgir et j’ai moi aussi aimé cette brève conversation à la Maison. La musique donne parfois ce privilège de pouvoir entrer en contact avec des gens bien. Bon temps des Fêtes et vive l’Île d’Orléans…
Pierre Guérin